Banal - Timal

Banal

Timal

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Song Introduction

"Banal" est une chanson de Timal, rappeur français reconnu pour son style authentique et ses textes impactants. Sortie en [année], ce titre explore les aspects quotidiens et parfois répétitifs de la vie, tout en mettant en avant la maîtrise de Timal en matière de flow et de mélodie. Avec des productions soignées et des paroles réfléchies, "Banal" a séduit les fans de hip-hop et renforcé la position de Timal sur la scène musicale française. La chanson illustre parfaitement sa capacité à transformer des expériences ordinaires en œuvres captivantes.

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Lyric

Eh, c'est Dandy à l'appareil

Là, j'baraude dans la ville, y a les porcs, on shoot

Le ient-cli, tu le sens pas, le mal ça parle en stop

Y a des reufs au placard, c'est vrai qu'y en a qui souffrent

Et les ients-cli aussi, quand y a plus d'10 en stock

J'm'enfume sous la capuche, j'ai le cerveau kaput

Dans l'auto', quatre crapules, appuie l'bouton "capote"

Rah, c'est moi qui gère, tu sais que les autres, ils imitent

J'rallume le teh et j'prépare une frappe imminente

Heureusement que la nuit tombe progressivement, vous trouvez pas?

Vous vous rendez compte si tout s'éteignait tout d'un coup comme une bougie, quoi?

T'es là, t'avances tranquillement, tu vois tout, tu reconnais tout l'monde et boum

Sans prévenir, tout d'un coup, tu vois plus rien

Lovés, lovés, on a charbonné toute la journée

Lovés, lovés, on va en chercher même la noche

Et ça devient banal, banal, banal

Et ça devient banal, banal, banal

J'arrive plus à ingurgiter autant d'whisky que dans le temps

Ma vieille panse arrive plus à encaisser

J'ai la chiasse à chaque fois que j'bois tu te rends compte?

Et viens nous voir, comme d'hab', on est tous die, die, die, die

Y a les civils en descente, ça stop les bails, bails, bails, bails

Cavaler, on a dû faire comme Sonic

Et dans le quartier ça parle rebeu comme soninké

Lovés, lovés, on a charbonné toute la journée

Lovés, lovés, on va en chercher même la noche

Et ça devient banal, banal, banal

Et ça devient banal, banal, banal

- It's already the end -